. ECRIVEZ une scène dans laquelle les personnages ne se comprennent pas ; l’un d’ entre eux ne reconnait pas l’autre ou l’un d’ entre eux entend mal Vous veil
Français
Anonyme
Question
. ECRIVEZ une scène dans laquelle les personnages ne se comprennent
pas ; l’un d’ entre eux ne reconnait pas l’autre ou l’un d’ entre eux
entend mal
Vous veillerez à présenter votre scène comme
une scène de théâtre (attention à la présentation) et à introduire des didascalies variées.
Votre scène devra commencer par une didascalie
située au début de la scène ou vous préciserez les personnages en présence, le
lieu, éventuellement le moment
Attention ! Votre scène doit faire progresser la situation de départ.
pas ; l’un d’ entre eux ne reconnait pas l’autre ou l’un d’ entre eux
entend mal
Vous veillerez à présenter votre scène comme
une scène de théâtre (attention à la présentation) et à introduire des didascalies variées.
Votre scène devra commencer par une didascalie
située au début de la scène ou vous préciserez les personnages en présence, le
lieu, éventuellement le moment
Attention ! Votre scène doit faire progresser la situation de départ.
1 Réponse
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1. Réponse ocean222
LE COMMISSAIRE: Laissez-moi faire: je sais mon métier, Dieu merci. Ce n'est pas d'aujourd'hui que je me mêle de découvrir des vols; et je voudrais avoir autant de sacs de mille francs que j'ai fait pendre de personnes. HARPAGON: Tous les magistrats sont intéressés à prendre cette affaire en main; et si l'on ne me fait retrouver mon argent, je demanderai justice de la justice. LE COMMISSAIRE: Il faut faire toutes les poursuites requises. Vous dites qu'il y avait dans cette cassette? HARPAGON: Dix mille écus bien comptés. LE COMMISSAIRE: Dix mille écus! HARPAGON: Dix mille écus. En pleurant. LE COMMISSAIRE: Le vol est considérable. HARPAGON: Il n'y a point de supplice assez grand pour l'énormité de ce crime; et s'il demeure impuni, les choses les plus sacrées ne sont plus en sûreté. LE COMMISSAIRE: En quelles espèces était cette somme? HARPAGON: En bons louis d'or et pistoles bien trébuchantes. LE COMMISSAIRE: Qui soupçonnez-vous de ce vol? HARPAGON: Tout le monde; et je veux que vous arrêtiez prisonniers la ville et les faubourgs. LE COMMISSAIRE: Il faut, si vous m'en croyez, n'effaroucher personne, et tâcher doucement d'attraper quelques preuves, afin de procéder après par la rigueur au recouvrement des deniers qui vous ont été pris.