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Question

Bonjour à tous, j'aurais besoins que quelqu'un corrige et me fasse repérer les fautes que j'ai faite dans mon expression écrite. Merci d'avance !

"Et voila que le petit commerce disparait, se dit Denise le coeur en peine en observant la boutique de son oncle d'un triste regard. Les cassures apparaissaient, déjà sombre par le passé cette boutique l'était encore plus depuis la mort de son propriétaire.
Tout était recouvert de poussière et l'insigne peut à peux disparaissait.
Maintenant que j'y pense, me voila respecté et bien traité à présent, alors que auparavant je vivais un véritable enfer dans ces galeries. Je me faisais insulter, je souffrais autant psychologiquement que physiquement. J'ai du tant travailler dans se petit commerce, en le voyant dans cette état je ne sais pas si je devrais me sentir soulagé ou triste. c'est un sentiment très étrange et trop complexe à expliquer.
Devant le nombre incalculable de pensés qui l'a gagné Denise se laissa aller à la mélancolie de ses années passés, elle avait beau se rappeler toute la souffrance quelle endurait chaque jour un poids restait au fond de sa poitrine. Agrippant de sa mains le tissu près de son coeur elle détourna le regard vers ses soulier pour stopper tout le flot d'émotion qui la retournait, comme si tout les malheurs et soucis du monde reposait sur ses frêle épaule. Elle se reprit rapidement afin d'éviter les regards trop curieux. En relevant la tête elle resta en face de cette petite boutique, maintenant délabré disparue sous l'ampleur du monstre qu'était son rivale, en hommage à sa très cher cousine Genevieve."

1 Réponse

  • Bonjour,

    "Et voila que le petit commerce disparaît, se dit Denise le cœur en peine en observant la boutique de son oncle d'un triste regard. Les cassures apparaissaient, déjà sombre par le passé, cette boutique l'était encore plus depuis la mort de son propriétaire.

    Tout était recouvert de poussière et l'insigne peu à peu disparaissait.

    Maintenant que j'y pense, me voila respecté(e) et bien traité(e) à présent, alors que auparavant je vivais un véritable enfer dans ces galeries. Je me faisais insulter, je souffrais autant psychologiquement que physiquement. J'ai du tant travailler dans ce petit commerce, en le voyant dans cet état je ne sais pas si je devrais me sentir soulagé(e) ou triste. c'est un sentiment très étrange et trop complexe à expliquer.

    Devant le nombre incalculable de pensées qui l'ont gagnée Denise se laissa aller à la mélancolie de ses années passées, elle avait beau se rappeler toute la souffrance quelle endurait chaque jour, un poids restait au fond de sa poitrine. Agrippant de sa main le tissu près de son cœur, elle détourna le regard vers ses souliers pour stopper tout le flot d'émotion qui la retournait, comme si tous les malheurs et soucis du monde reposaient sur ses frêles épaules. Elle se reprit rapidement afin d'éviter les regards trop curieux. En relevant la tête elle resta en face de cette petite boutique, maintenant délabrée, disparue sous l'ampleur du monstre qu'était son rival, en hommage à sa très chère cousine Geneviève."

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