Français

Question

Bonsoir, j’ai un dm à faire en français et je n’arrive pas. Aidez-moi s’il vous plait.
Bonsoir, j’ai un dm à faire en français et je n’arrive pas. Aidez-moi s’il vous plait.

1 Réponse

  • bonjour

    1.

    Type de strophe : Quatrain (4 vers)

    Type de rimes : rimes croisees

    Type de vers : heptametre (vers de 7 syllabes)

    "La rose et le réséda" >> 8 syllabes

    Ce vers ne rime pas avec l avant avant dernier vers du poeme, il ny a pas le respect de rimes croisées appliqué dans tout le poeme

    2. La rose est de couleur rouge, dans le poeme cest la connotation avec le symbole du socialisme. Ici elle represente le communisme.

    Le réséda est de couleur blanche, le blanc represente la monarchie et le catholicisme, ici le reseda represente la droite politique.

    3. Le refrain > "Celui qui croyait au ciel, celui qui n'y croyait pas"

    Il en a mis un pour montrer l'indéfectibilité du lien qui unit des personnages que tout pourrait séparer ; ce lien, c'est celui du "commun combat"

    4. L'effet de style au vers 18 est une alliteration en "V"'

    on peut en retrouver une autre au vers 24 en "K"

    5. Les personnages evoqués sont l'athée et le chrétien.

    Athée : "celui qui ny croyait pas" ; "et l autre sy derobat"

    Chretien : "que l'un fut de la chapelle" ; "celui qui croyait au ciel"

    6. Contexte : Pendant la Resistance

    "La belle prisonniere" fait reference a la France

    La figure de style est une allegorie

    7. "Tous deux adoraient la belle" v. 3

    - "Tous les deux étaient fidèles / Des lèvres du cœur et des bras" v. 15-16

    9. Champ lexical de la religion :

    "ciel" ; "raisin muscat" (metaphore de l'evangile); "citadelle" ; "glas"

    10. Champ lexical de la mort :

    "tombe" ; "cruelle" ; "trepas" ; "sang"

    11. Ces vers montrent l'espoir de jours meilleurs.

    On parle du sang des résistants morts, ce sang « se mêle / A la terre » (vers 51-52) « pour qu'à la saison nouvelle / Mûrisse un raisin muscat ». Il n'est donc pas inutilement versé.

    Et comme dans la mythologie, là où le sang coule, pousse une plante (là où meurt Narcisse, poussent des fleurs blanches qu'on appelle justement « narcisses »).

    Le raisin mûrira, on pourra donc de nouveau produire du vin et s'amuser. La joie fera suite à la douleur. De même, on dégustera des « framboises » et des « mirabelles » (vers 59).

    La paix, symbolisée par le « grillon » (vers 60), et le bonheur reviendront dans les foyers ; et le futur du verbe « rechantera » (vers 60) fait office de promesse.

    L'espoir d'un avenir triomphant est representé par « L'alouette » qui peut rappeler la comptine populaire (« Alouette, gentille Alouette / Alouette, je te plumerai... ») et la mention d'instruments de musique appelle à la fête. Les mots fonctionnent par ailleurs deux à deux : « flûte ou violoncelle » (vers 61), « l'alouette et l'hirondelle » (vers 63), « la rose et le réséda » (vers 64, comme le titre), reprenant une dernière fois la notion de duo aux éléments contraires pour mieux décupler le patriotisme en un « double amour ». Enfin l'espoir est incarné par « l'alouette », oiseau symbole de la naissance du jour, « l'hirondelle » symbole du printemps et du renouveau, et les fleurs « la rose et le réséda »

    11.