BONJOUR POURRIEZ-VOUS M’AIDER À TRANSFORMER CE DIALOGUE EN DISCOURS INDIRECT MERCI

Jean s'exclama qu'on ne devait pas permettre qu'un rhinocéros soit en liberté dans la ville. Etonné que ce fait ne m'étonna pas. Et moi d'ajouter que c'était en effet dangereux,sans y avoir pensé. Il propose que nous devrions protester auprès des autorités municipales.J'émis l'idée que l'animal s'était peut-être échappé du Jardin zoologique. Il me répondit que je devais rêver car il n'y avait plus de zoo... siècle. J'insistais toutefois pensant qu'il pouvait venir du cirque. Je m'entendis répondre qu'il ne pouvait être question d'un cirque puisque la mairie avait interdit.... et qu'il n'en passait plus depuis notre enfance. Et moi de répondre en baillant que l'animal était peut-être resté depuis ce temps caché dans les bois marécageux des alentours. Et Jean me rétorqua que j'étais tout à fait dans les brumes épaisses de l'alcool. En effet, elles montaient de mon estomac. Jean me le certifia en ajoutant qu'elles m'enveloppaient  le cerveau. Car où pouvais je voir des bois marécageux dans les alentours puisque notre province était surnommée la Petite Castille, tellement elle était désertique.J'émis l'hypothèse qu'il s'était peut-être abrité sous un caillou ou avait il fait son nid sur une branche desséchée. Il dit que j'étais ennuyeux avec mes paradoxes, incapable de parler sérieusement. Je lui répondis que je l'étais en ce jour surtout. Il me déclara que je l'étais ce jour autant que d'habitude. Je demanda alors à ce cher Jean de ne pas s'énerver.