Français

Question

Bonjour pouvez vous m'aider svp en français
Réécrire ce texte en conjugant les verbes à l'imparfait :

Celui qui regarde du dehors à travers une fenêtre ouverte, ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée. Il n’est pas d’objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu’une fenêtre éclairée d’une chandelle. [...]
Par delà des vagues de toits, j’aperçois une femme mure, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais. Avec son visage, avec son vêtement, avec son geste, avec presque rien, j’ai refait l’histoire de cette femme, ou plutôt sa légende, et quelquefois je me la raconte à moi-même en pleurant.

Ch. Baudelaire, « Les Fenêtres », Petits poèmes en prose, 1855

2 Réponse

  • Bonjour,

    Réécrire ce texte en conjuguant les verbes à l'imparfait :

    Celui qui regardait du dehors à travers une fenêtre ouverte, ne voyait jamais autant de choses que celui qui regardait une fenêtre fermée. Il n’était pas d’objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu’une fenêtre éclairée d’une chandelle. [...]

    Par delà des vagues de toits, j’apercevais une femme mure, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sortait jamais. Avec son visage, avec son vêtement, avec son geste, avec presque rien, j’avais refait l’histoire de cette femme, ou plutôt sa légende, et quelquefois je me la racontais à moi-même en pleurant.

  • Bonjour,

    "Celui qui regardait du dehors à travers une fenêtre ouverte, ne voyait jamais autant de choses que celui qui regardait une fenêtre fermée. Il n’était pas d’objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu’une fenêtre éclairée d’une chandelle. [...]  Par delà des vagues de toits, j’apercevais une femme mure, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sortait jamais. Avec son visage, avec son vêtement, avec son geste, avec presque rien, je refaisais l’histoire de cette femme, ou plutôt sa légende, et quelquefois je me la racontais à moi-même en pleurant. "

    Ch. Baudelaire, « Les Fenêtres », Petits poèmes en prose, 1855

    Voilà, j'espère t'avoir aidé !

    Ps : j'ai déjà écrit la réponse dans les commentaires

    Bonne après midi !

Autres questions