Bonjour est ce que c'est possible de m'aider pour mon français svp. Je dois rédiger une rédaction .Je c'est pas comment mis prendrez je suis en 5e.merci ​

un jour, par un temps qui était splendide, le soleil se cacha brusquement derrière de gros nuages, pourtant non visibles jusqu'à présent. Le capitaine cria qu'il s'agissait sans doute d'une tempête et qu'il fallait que nous nous attendions au pire. Je tremblais de peur bien que ce ne soit pas la première fois, mais je voulais vivre plus longtemps, encore trop jeune pour mourir. L'équipage courut dans tous les sens, hurlant recommandations ça et là. Mon coeur battait très fort, et la mer calme, commençait de plus en plus à s'agiter, car les vagues semblaient avoir la grosseur du bâteau.

Tout à coup, un immense cri retentit. Nous tremblâmes tous. Ce n'étais pas un cri humain, certainement, puisque nous étions au beau milieu de l'océan. C'était monstrueux, comme un rugissement de lion mais avec quelque chose de plus inhabituelle encore. Mais quoi? Le cri retentit plus fort encore... Un membre hurla que quelque chose s'approchait à grande vitesse vers le navire. Quelque chose d'énorme, de monstrueux, de jamais vu. Malgré ma peur, je me précipitai vers le bord tandis que mes équipiers avaient de plus en plus peur. Enfin, j'allais voir quelque chose d'extraordinaire, enfin j'allais voir quelque chose qui allait changer ma vie. Et que vis-je? Je ne peux toujours pas décrire ce qu'était cette créature. Une sorte de serpent géant, à moitié dragon, à moitié crocodile. Ma boucle resta fermée car j'étais mort de peur. À la fois majestueux et effrayant, voilà ce que c'était, immense et l'eau ruisselante entre les écailles, d'un vert foncé et gluant comme les algues, avec d'immenses yeux d'un bleu sombre et perçant. La bête s'éleva devant moi et ses nageoires s'hérissèrent délicatement. Elle me fixait. C'était un véritable dragon des mers, avec des narines qui bougeaient, laissant sortie de l'eau en buée. Je crus bien qu'à ce moment-la j'étais le seul à bord. Elle m'observait. Soudain, elle ouvrit sa gueule énorme et je fermai les yeux car j'allais mourir. Un cri inhumain perça mes tympan, un bruit semblable à l'arrivée d'un raz-de-marée, puis plus rien. Quand j'ouvris mes yeux, il n'y avait plus rien, le soleil était revenu, la mer était calme. Je pensais un instant avoir rêvé quand à ma plus grande surprise, je vis une écaille à mes pieds trempés.

Mon équipage revint peu à peu, curieux par le calme revenu subitement. Je cachai ma trouvaille dans ma chemise.

Le soir, je la contemplai encore, persuadé d'avoir été en face du roi de la mer. L'écaille qui faisait trois fois ma main brillait étrangement. Je compris longtemps après que c'était une pierre plus précieuse que l'or qu'on ne trouvait que dans la mer, et qu'elle était seulement donné aux individus les plus courageux sur terre et je fus éternellement reconnaissant au roi de la mer.