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Question

Bonjour, j'ai une expression libre à faire sur cette photo, elle ne faut pas qu'elle soit descriptive, il faut faire un texte sur ce qu'elle nous inspire. Une personne du réseau m'a gentiment écrit ce texte mais le problème c'est qu'il ne fait que 7 lignes, et je ne sais pas quoi rajouter pour que ça finissent 20 lignes je n'ai pas d'inspirations ( la femme chante dans la mer) Merci beaucoup à celui ou celle qui m'aidera !
Bonjour, j'ai une expression libre à faire sur cette photo, elle ne faut pas qu'elle soit descriptive, il faut faire un texte sur ce qu'elle nous inspire. Une p

1 Réponse

  • Bonsoir

    Bien je reprends le début et je le continue.

    Cette femme si étrange et en même temps si attirante n’est qu’un fantôme ! Elle survole les flots à la recherche de son équipage. Elle ne sera en paix que lorsqu’elle aura retrouvé ses hommes, ces marins disparus dans la folie des vents.  La nuit est sombre, aucun mouvement, sauf les vagues qui s'enchainent les unes aux autres, et cette forme féminine enveloppée dans une robe claire semble être attirée, mais malheureusement où, qui l'attire ? On peut s'imaginer que les sirènes ont été averties par cette voix hurlante au dessus de l'eau, et savez-vous que cette forme le sait, mais ne peut pas se sauver. Maintenue, comme aspirée, elle procure une idée d'apesanteur, mais sera -telle dévorée par cet océan, sans aucun repère, nuls bâteau aux alentours. Cette âme perdue au milieu de l’océan erre, se perd dans cette infinité, ce néant ! Pas de cris, pas de bruit, pas de chant d’oiseaux ! Le silence, toujours le silence ! Même la vie au loin, s'est éteinte, habituellement des lumières sont présentes, elles clignotent et ce soir, le monde retient sa respiration. Que se passe t-il ? Cette photo évoque le négatif, la mort arrivée et celle qui viendra, la noirceur du ciel amplifie l'angoisse. Il apparait que cette âme est sur le point de se perdre comme ceux partis à leur insu. Des bruits venant de cette atmosphère, viennent à mes oreilles comme pour me dire, sauve-toi, vite, cours. Des frissons me parcourent, je ramasse mon sac, puis rapidement, face à ce tableau, je détourne mon regard, il me semble entendre un souffle, mais épuisée, apeurée, je me sauve. Quelle angoisse !